Perles de soumises
...ou "fines remarques", selon l'expression
plus politiquement correcte de ma douce...
s, soumise parisienne, faisant la moue devant son miroir : elle tombe bizarrement, cette jupe que je viens d’acheter…
K, domdom panaméen : non, elle est jolie…
s
: nan, elle tombe mal. Je vais la rapporter.
K : Bin, elle est asymétrique, c’est normal…
s
: Oui, mais ça va pas : j’aurais voulu qu’elle soit asymétrique des deux côtés.
K, domino parigot, marchant dans la rue en compagnie de s, sa soumise, enthousiaste à la vue des lumières d’un avion traversant le ciel : une étoile filante ! Faut faire un vœu ! …moi, je veux… je sais ! Je veux une grosse queue, énorme et toute dure ! Toute ma vie !
s
: Moi aussi !
s: - je t'embrasse fort
K: - nan c'est moi.
s: - ben moi, encore plus fort
K: - ben moi, fort et tout partout ; à des endroits que t'imagines
même pas
s: - si, si...
"C'est bizarre ce temps, hein ? Un
coup il fait froid, pis d'un seul coup il fait chaud... il
fait
lourd, nan ?" - s, de Paris, dans le séjour, 30
minutes après l'arrivée de ses menstruations.
"Maître si vous continuez
a me martyriser , je vous jure , je crie et j'appelle les <mfffffffffffffffffffff
!>" - o, d'Annecy, marchant dans la rue au retour du restaurant.
"...Yoga." - s, de
Paris, agenouillée
devant la table du restaurant, un verre sur la tête et les mains
croisées derrière la nuque, avec un large sourire, au serveur
qui lui demande: "que faites-vous ?"
"C'est vrai que ça tient chaud,
les cordes, en fin de compte" - une soumise qui
se rend soudain compte qu'elle a froid, après qu'ont l'aie libérée
de trois heures de bondage et 40 mètres de corde.
"Moi je trouve qu'on devrait avoir
des bons points, quand on se comporte bien et qu'on est obéissante,
y a pas de raison" - ma douce aristochate, qui
reçoit maintenant
des bons points quand elle est sage et ne cache qu'à moitié son envie
de me les faire bouffer.
"Ah nan ! Tout mais pas le T-shirt ! Ça, c'est
hooooooorrrrrrs de question" - f, du 59-75.
"J'ai fait une bonne affaire" - f,
du 59-75, fière d'elle, revenant des toilettes torse nu.
"À quoi ca vous sert que je compte les
coup , toute maniere , ya trop de laniere a votre flogger,
Maître" - o, d'Annecy.
"Je me les caille !" - f,
du 59-75, qui cherche un moyen subtile de renfiler son T-shirt
et cacher sa nudité, juste avant
de se retrouver plantée par son maître devant le radiateur, qui
est justement surmonté d'un grand miroir.
Le premier maître: "sers nos invités
d'abord", le deuxieme
maître: "sers ton maitre d'abord", a.,
de Paris: "bon
, je fais quoi moi ?!?". Les
maîtres
:
"tu va te faire punir."
"Nan, mais c'est pas qu'elle est
courte, c'est qu'elle remonte" - une aristochate
dans la rue, mains dans le dos, à propos de la robe
qu'elle porte et n'a pas le droit de toucher.
"C'est doux, c'est du mohair ?" -
une aristochate dont la robe vient
de lui remonter jusqu'au nombril, tandis que ses fesses ressentent
soudain
la
douceur de la veste que lui a galamment offert un dominant qui
assistait
à la scène.
"Payer 60 euros de train pour sucer un
dom, je me passerais bien de ce genre de punition" -
d, de Paris.
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